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Violaine, nantaise sensuelle, maman devenue confidente au téléphone rose

Violaine, peux-tu te présenter à ceux qui ne te connaissent pas encore ?

Je m’appelle Violaine , je vis à Nantes et je suis une femme qui a déjà bien vécu, dans le bon sens du terme. J’ai deux enfants adultes qui ont pris leur envol, ce qui m’a laissé enfin de la place pour moi, pour ma sensualité et pour cette nouvelle vie que je me suis créée. Physiquement, on me décrit souvent comme douce : des traits féminins, un regard très présent, une voix posée qui rassure et qui peut aussi devenir beaucoup plus troublante quand la conversation s’y prête. Dans la vie comme au téléphone, je suis très attentif . J’aime écouter, laisser l’autre se déposer, se confier, parfois se lâcher un peu. J’ai un humour discret, jamais méchant, qui étend tout de suite l’atmosphère. On m’a envoyé bienveillante, on a envoyé que je ne juge pas. Certains m’imaginent comme une sorte de cougar nantaise au cœur tendre, mais ce que j’aime surtout, c’est créer un lien intime par la voix, entre adultes qui savent ce qu’ils veulent sans nécessairement oser le dire ailleurs.

Comment es-tu passé de la vie « classique » d’assistante administrative au téléphone rose ?

Pendant des années, j’ai été assistante administrative dans des bureaux très sages : horaires fixes, dossiers, réunions… Une vie stable, mais où je me sentais de plus en plus à l’étroit. J’avais la sensation de mettre ma vraie personnalité entre parenthèses, d’enfiler un costume un peu trop serré chaque matin. À côté de ça, j’ai toujours eu une grande curiosité pour les histoires humaines, les relations, les désirs, tout ce qu’on n’ose pas dire à voix haute. Quand mes enfants ont quitté le nid, je me suis demandé : « Et moi, maintenant, qu’est-ce que j’ai envie de vivre ? ». Le métier d’animatrice au téléphone rose s’est imposé petit à petit, presque naturellement. J’ai commencé à me renseigner, à parler avec des hôtesses, à comprendre les codes. J’ai découvert un univers où ma capacité d’écoute, ma maturité et ma sensualité pouvaient enfin servir à quelque chose de plus fort que classer des dossiers : accompagner des personnes dans leurs envies, leurs fantasmes, mais aussi leurs manques et leur solitude.

Comment tu décrirais ton style d’animatrice quand quelqu’un t’appelle pour la première fois ?

Quand quelqu’un tombe sur moi pour la première fois, je veux qu’il sente immédiatement qu’il peut se détendre. Je parle doucement, je pose quelques questions simples, je laisse la personne me dire ce qu’elle attend, ou au contraire je l’aide à le formuler si elle est timide. Je ne force jamais, je préfère installer une atmosphère de confiance, presque comme si on se connaissait déjà un peu. Mon style est plutôt sensuel et chaleureux que brutal. J’adore jouer avec les silences, avec le rythme de ma voix, avec cette proximité particulière qu’offre le téléphone. Je peux être très complice, taquine, ou plus rassurante selon ce que l’autre vient chercher. Certains veulent explorer un fantasme qu’ils n’ont jamais osé confier à leur partenaire, d’autres ont juste besoin d’entendre une voix féminine qui comprend leurs envies. Je m’adapte, je prends le temps et j’aime quand on sent que le stress retombe pour laisser place à quelque chose de plus intime, plus vrai.

Tu parlais de fantasmes… quel est le tien, celui qui te fait vraiment rêver ?

Mon grand fantasme, c’est une aventure dans un château en bord de mer. J’imagine un lieu un peu hors du temps, avec de grandes fenêtres ouvertes sur l’océan, des embruns, le bruit des vagues qui accompagne chaque geste, chaque mot. Je me vois comme la muse d’un artiste mystérieux qui m’observe, me dessine, me fait parler de mes envies les plus secrètes. Il y aurait une ambiance feutrée, des lumières douces, des tissus qui glissent sur la peau, une lente montée de tension où le désir se mêle à la créativité. Ce qui m’excite vraiment, ce n’est pas seulement le corps, c’est tout ce qui se passe dans la tête : les regards, les confidences, le jeu de la séduction qui s’installe, les limites qu’on repousse doucement, mais toujours avec respect. Au téléphone, je retrouve un peu de ce fantasme : je deviens souvent la muse de celui qui m’appelle, la femme qui écoute, qui comprend, qui ose dire ce que les autres taisent. Et j’adore quand on construit cet univers ensemble, juste avec nos voix.

As-tu une anecdote marquante à raconter, peut-être liée à Nantes ou à la mer ?

Il y a une histoire qui me revient souvent en tête. Un soir d’été, j’étais à la plage, pas loin de Nantes, après une journée un peu lourde. Je regardais l’horizon quand un inconnu est venu s’asseoir à quelques mètres de moi. On a commencé à parler de tout et de rien : du travail, de la routine, de ce sentiment d’être parfois spectateur de sa propre vie. Il y avait une forme de complicité immédiate, silencieuse mais très présente. Plus tard, par hasard, il m’a retrouvée sur une ligne de téléphone rose, sans le savoir au début. En reconnaissant ma voix, il s’est figé, puis il a éclaté de rire. La conversation qui a suivi était incroyablement intense, pas tant parce qu’elle était coquine, mais parce qu’on partageait ce secret : nous avions déjà vécu un moment suspendu ensemble, sans nous toucher, juste avec des mots et des regards. À partir de là, chaque appel était comme prolonger cette soirée d’été. Pour moi, c’est ça, une anecdote marquante : quand le téléphone ne sert pas seulement à exciter, mais à rendre un lien inoubliable.

Qu’est-ce que tes appelants peuvent attendre de toi quand ils composent ton numéro de tel rose ?


Ils peuvent s’attendre à trouver une femme présente, bienveillante, sensuelle , qui ne se contente pas de réciter un texte. Avec moi, chaque échange est unique. Je prends en compte leur histoire, leur humeur du moment, leurs envies, leurs craintes aussi. Certains viennent juste pour une parenthèse légère, d’autres pour explorer un univers plus audacieux, mais dans tous les cas, je reste à l’écoute, sans jugement.
Beaucoup d’hommes m’ont confié qu’ils m’avaient en cherchant un tel rose où l’on se sentait vraiment en sécurité, libre d’être soi-même. C’est ce que je veux leur offrir : un espace intime où ils peuvent parler, fantasmer, respirer un peu quand le quotidien devient trop lourd. Et puis, bien sûr, je ne suis pas qu’une oreille : je suis aussi une femme qui aime jouer avec les mots, avec les émotions, avec cette proximité si particulière qu’offre la ligne. À ceux qui hésitent encore, je dirais simplement : appelez, laissez-vous guider, et voyez jusqu’où notre conversation nous mène.

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